Avec « La Grande roue », Nicolas Repac
nous plonge dans un univers singulier de balades somnambuliques, porté
par sa voix chaude et profonde, toujours à la limite du chant et
de la conversation intimiste, le tout serti d’arrangements somptueux mêlant
sonorités acoustiques piégées et éléments
subtils d’électronique.